Écrire un poème de tel sorte que vous écrivez un vers et que le prochain rime et celui d’après ne rime pas. Pour être claire des “Rimes suivies = Rimes plates = Rimes jumelles => AABB”.
Première phrase:
” Au-revoir qui ne signifiais pas un adieu “
Écrire un poème de tel sorte que vous écrivez un vers et que le prochain rime et celui d’après ne rime pas. Pour être claire des “Rimes suivies = Rimes plates = Rimes jumelles => AABB”.
Première phrase:
” Au-revoir qui ne signifiais pas un adieu “
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Au-revoir qui ne signifiait pas adieu,
Au-revoir qui ne signifiait pas la fin de nous deux.
Une nouvelle étape s’ouvre à nous,
Une nouvelle étape qui concerne nos personnes à bout.
Il est temps de prendre les devants,
Et de se laisser porter par le vent.
C’est une prise de risque ?
Peut-être, sûrement, mais il faut retirer nos masques,
Cessez ces rituels et ces sourires de façade,
Pour rechercher une nouvelle étape moins fade.
Sortons de notre bulle confiné,
Pour en face, la vérité regarder,
Tu réfléchis, tu hésites, tu souris, tu pleures …
Je ne peux m’y arrêter car maintenant il est l’heure.
Mon train part bientôt et il est déjà tard,
Je ne peux manquer cette occasion d’un nouveau départ.
Quelle est la durée de mon voyage ? Quand reviendrai-je ?
Quelle question ? Je tourne la page.
Je vais explorer un nouveau livre sans toi,
Et je ne peux présager ce que je découvrirai sur moi.
C’est stimulant et enthousiasmant,
Je pars le cœur léger … tout doucement …
Au revoir, toi, nous deux,
Sans peine, ni regret, jette ce masque malheureux si tu le peux …
“Au revoir” qui ne signifiait pas un adieu,
Derniers mots d’un artiste mystérieux,
Qui disparut soudainement un jour,
Annoncant cependant son potentiel retour.
Un marginal qui fut très recherché,
Par ses œuvres pourtant nombreux furent effrayés,
Son travail bien trop souvent incompris,
Ne laissant en effet que mort derrière lui.
Un monticule de chair sanguinolente,
Preuve d’une agonie cruelle et lente,
Voilà la besogne terrible,
De ce créateur invisible.
“Au revoir”, un soulagement épouvantant,
Gravé dans le crâne d’un ancien commerçant,
Dédicace du poursuivi bourreau,
Qui, il l’a promis, reviendra bientôt.
Au-revoir ne signifiera pas adieu
Tant que je verrais l’avenir dans tes yeux
A travers les écailles d’un pangolin
Le monde s’est mis à s’articuler comme un pantin
Nous voici tous enfermés dans nos maisons
Sans pouvoir toucher le fond
Les ateliers théâtres du samedi matin
Nous apportaient beaucoup d’entrain
Et voila que super Robert du fond de sa tanière
Se met à partager des idées pleines de lumières
En attendant le quatre heure
Nous voici faire des rimes dans la bonne humeur
Le temps est long,
Mais finalement qu’est ce que c’est bon
On en profite pour faire marcher les tablettes
Pendant que maman joue la fliquette
La télé marche à plein régime
Pendant que nous on fait des rimes
C’est pas toujours facile
Mais on ne va pas devenir des fossiles
C’est un gros marathon
Mais nous, on a pas les jetons
Corona
Tu ne nous aura pas!!!!!
« Au-revoir ne signifiera pas adieu »
Tu n’as qu’à changer tes yeux
Je pars juste un instant
Pour me laver les dents
Comme ces goélands blancs
Ceux des falaises d’Ouessant
Alors vous saurez
Vous aimez
nous serons à nouveau réunis
Avec tous nos amis
Et nous fêterons ensemble
Jusqu’à ce que tout tremble
Une fête digne des rois
Ceux qui sont comme toi
Amoureux, mutins
Et doux comme les câlins
Jamais cela n’arrêtera
On se reconnaîtra
« Au-revoir ne signifiera pas adieu »
Cette dernière phrase à l’air mélodieux
Résonne dans mon sang tumultueusement
Depuis que ses yeux, opiniâtrement,
Ignorent mes tourments et toute ma personne.
Éloignés l’un de l’autre, le lion et lionne,
Espèrent tristement le retour à la vie
Du désert mortifère empêchant leur envie
Passionnelle, embrasée de caresser la peau
Douce et bienveillante, amoureuse plutôt.